Ne
disposant pas d’assez de dynamite pour éradiquer le site de Chulilla, nous avons quitté ce spot avec une sensation de travail bâclé.
Le joli village de Chulilla vaut tout de même le détour |
Peu importe, nous desertâmes ce lieu diabolique pour des contrées sensées être plus clémentes : Sella.
C’est
à croire parfois que le destin s’acharne… Le site est classe, mais à cette
époque de l’année:
on n’achète pas d’esquimaux glacés à Sella…..on le devient
tout simplement.
Le
vent glacial du « Wild Side », ajouté aux 3 petits degrés de
température moyenne, nous a littéralement gaché le plaisir. Malgré quelques
runs de kosovars (à muerte como siempre), les croix ne sont malheureusement pas tombées, comme
mamie dans les escaliers, et toutes les saveurs de ce bout de caillou mythique sont devenues, un peu fades.
Nous
avons d’ailleurs très vite noté que les espagnols étaient inscrits aux abonnés absents. Seuls
quelques tchèques peu vaillants mais fort sympathiques ont vaguement tenté de
s’échauffer, sans grand succès.
Nous ne sommes pas tombés malades, mais la fièvre andalouse commençait à nous gagner...
La vie ici était trop saine, et le gras du bide disparaissait bien plus
rapidement que sous n’importe quel régime Weight Wachers.
Direction
les tropiques ibériques et le royaume des tapas (gratuites) à profusion.
Village de "Nivar" prononcé avec un B au lieu du V.....
Après avoir fait remonter notre Indice de Masse Corporelle (C.f la photo du singe) , nous voilâmes donc dans de bonnes dispositions pour tâter le calcaire de Cogollos.
Après avoir fait remonter notre Indice de Masse Corporelle (C.f la photo du singe) , nous voilâmes donc dans de bonnes dispositions pour tâter le calcaire de Cogollos.
Secteur "El goteron"
Le site est plutôt classe, l’escalade y est variée, entre les voies courtes très bloc du secteur Sismico, et les envolées de 40m à colos et mocos des secteurs Goteron et Campana. On s’est très vite sentis comme des coqs en pâte, malgré quelques démonstrations flagrantes de « mala follada granaina » d’un certain local nommé Man .
Le site est plutôt classe, l’escalade y est variée, entre les voies courtes très bloc du secteur Sismico, et les envolées de 40m à colos et mocos des secteurs Goteron et Campana. On s’est très vite sentis comme des coqs en pâte, malgré quelques démonstrations flagrantes de « mala follada granaina » d’un certain local nommé Man .
A
croire que chaque « Guiri » (touriste) qui vient souiller son sol doit se
prosterner devant ce pseudo prophète qui a pour seul gloire d’enduire le sika
comme un vrai artisan du BTP.
Un
certain R Fanega, équipeur de lignes de génie à coup de mèche de 16 et de lèvre
de Sika, en profite pour me "chier dessus" concernant une voie que j’avais équipé
sur le secteur: Il proclama que je m’étais pris pour un autre en annonçant une
cotation surévaluée après l’avoir first ascenté. Je présume et j’en met un
organe à couper, que ce petit bout d’homme a réalisé une version édulcorée de
la voie (par la gauche)qui enlève le 7b/c bloc du début pour entrer vaillamment
dans le 7c final. Il annonça fièrement que ca valait un petit 8a.
Alors
je lui réponds allègrement qu’il peut même décoter sa version à 7c, et ainsi être
honnête jusqu’au bout !
Dans
le amuerte bicho crew on est pas là pour trier les olives et se faire enquiquiner
par des histoires futiles de cotation.
Carole
en canne en profite pour expédier LA voie majeur du Goteron « La
Marmotilla », qui se transforme en son premier 8a +. Cette voie puissante
necessite une belle paire de….. que carole n’as pas, mais a remplacé par une
ténacité hors du commun.
dernier mouv du premier crux de "la marmotilla" 8a+
Notre
seigneur Moulin s’est trouvé indisposé à Cogollos, et ne trouvera pas le rocher
digne d’accueillir ses menottes. Certaines voies lui sont apparues trop
bloc et le rocher de qualité insuffisante . Sa seigneurerie en profitera pour manger du raisin en regardant la plèbe, exultant, et non sans modération, certaines ardeurs primaires sur le caillou (je
parle d’escalade bien sur). Il se reservera stratégiquement pour les colos accueillantes
de Jaen (ni polla) ;)
Renaud dans "Bull terrier" 7c, qu'il a aimé !!!
JAEN :
La
vie a grenade était trop saine, malgré l’abondance de tapas a prix dérisoire,
la quantité de matière grasse ingurgitée restait insuffisante, et nos petits foies
commençaient à rentrer en dépression !!
Direction
donc et sans plus attendre : le pays de l’huile d’olive, où les oliviers poussent comme du chiendent, où l’huile coule
partout à profusion en parfaite harmonie avec la Cruz campo (bierre locale) et
le Larios (gin espagnol). Il parait même que la matière sudorale des locaux a
été remplacée au fil des années par cette matière grasse si pure.
Autant
vous dire que si on se sentait en forme avant notre arrivée a Jaen, nous sommes
vite passés en mode poivreaux de PMU, la pratique sportive en bonus, pour
économiser quelques tournées.
Team franco Jiennense de G a D: Luis serrano,moi, Camilo, el Pana, Renaud, Luis Penin, Tuko
.
Team franco Jiennense de G a D: Luis serrano,moi, Camilo, el Pana, Renaud, Luis Penin, Tuko
.
Renaud et Roumain sont sur un bateau....
Nos
petits bras coulés dans de l’acier trempé auparavant, se sont vite transformés
en terre cuite de chez Jardiland.
La
rési c’est effondrée aussi rapidement que les 2 tours du world trade center (en
ce qui me concerne). Nous changeront par conséquent rapidement
notre fusil d’épeautre, pour privilégier les graines, afin d’envoyer du pain
complet avec suplément sésame, le tout en mode machine de marque
allemande .
Pour résumer, une fois le taureau pris par la main, nous avons logiquement pris les armes ;
celles qui font des trous partout !!
La
mission était simple : mitrailler de spits une paroie cible, sélectionnée
avec goût et figurant parmi les meilleures pièces de la région. J’ai nommé :
la Pared Negra (à l’envers d’Otiñar).
La Pared Negra vierge de tout spit... avant notre arrivée
La Pared Negra vierge de tout spit... avant notre arrivée
Renaud jubile en possession d'une si grosse bi....te
Falaise connue du grand public, mais dont
l’accès a été classé par les espagnols comme ED sup, puisqu’elle est composée de
15 minutes de marche avec un dénivelé dépassant les 12 m.
vue depuis le haut de la Pared negra
Encore vierge de tout assaut, la paroi a pas mis longtemps à ceder au siège franco-galicien composé de Carole Palmier, Renaud Moulin, Adrien Boulon et Tuko. Et voilà qu'en une petite dizaine de jours la falaise principale s’est vue pourvue de centaines de petites varices métaliques positionnées dans le plus pur style français !!
vue depuis le haut de la Pared negra
Encore vierge de tout assaut, la paroi a pas mis longtemps à ceder au siège franco-galicien composé de Carole Palmier, Renaud Moulin, Adrien Boulon et Tuko. Et voilà qu'en une petite dizaine de jours la falaise principale s’est vue pourvue de centaines de petites varices métaliques positionnées dans le plus pur style français !!
Autant vous dire qu’une bonne paire de jumelles vous sera nécessaire pour esperer apercevoir les spits dans :
« Aceituna air space » 7c (Tuko en photo ci contre) ou dans la « Reinchorerizacion de Einstein » 8a (50m). Les voies sont certes engagées mais sans jamais être dangereuses (à moins d’être assuré par un bucheron allemand ).
L’engagement ici donne une petite touche adrénergique à cette escalade de conti, et oblige à grimper concentrer en s’engageant dans les sections.
L’escalade
y est moins aseptisée et tente de s’éloigner de la tendance inverse (hyper
sécuritaire) qui s’installe de plus en plus en terre ibérique.
Il n’est pas rare de voir des voies jonchées d’une guirlande de spit de 12 !!!
Il n’est pas rare de voir des voies jonchées d’une guirlande de spit de 12 !!!
A croire qu’en
Espagne c’est Noel tous les jours ?
Notre
choix de style d’equipement sera a coup sure un facteur limitant, quant à la
fréquentation du site. Il est pleinement assumé.
L’arrivée
des saucissons ou des jambons espagnols, français ou internationaux sur les falaises, est de
plus en plus fréquent et devient désolante.
Cette espèce en voie d’apparition se
caractérise le plus souvent par des individus démunis ou amputés de leur
organe reproducteur. Leur moyen de communication est le même qu’un individu
traditionnel, à l’exception du fait que tout ce qu’il dit, est en général braillé et s'apparente à de
vraies foutaises, comparable à ce que l’on appelle dans le jargon du « foutre
en barre » !!!
Ce
syndrome est patologique, c’est de la « diarrhée mentale ». Bien connue
des spécialistes elle se caractérise par le fait, que toutes les idées exprimées
oralement, par ces individus se révèlent être de la MERDE ! (
indicateurs fiable pour discerné l’espèce).
Ces
individus sont souvent armés de cannes a pêche, et possèdent le facies et/ou le QI
d’un Mérou.
Cette
pathologie est souvent en corrélation directe avec un manque total de respect envers
les tierces personnes qui les entourent. Il semblerait qu’ils ne
pratiquent pas le même sport…
"A l’époque les gens travaillaient des voies pour lesquelles les capacités physiques et mentales requises concordaient a peu pres avec les leurs."
Aujourd’hui
ce n'est plus le cas, l’aspect mental est peu à peu effacé, par la nouvelle facon d’équiper ainsi que
par l’émergence de nouveaux outils de progression ( la canne a peche, la
pose de moulinettes…). A quand les enchainements sur crocher goute d’eau en escalade
sportive ? ou l’enchainement d’un 9a en moule ?
Le saucisson label rouge, pur porc!
L’hédonisme relatif à ce sport de nature s’efface de plus en plus. On parle de moins en moins de beauté de lignes, de gestuelles, de combat mental et physique. Les belles valeurs disparaissent.... et grimper sur le cailloux le plus lisse et déversant possible devient juste un moyen de montrer sa supériorité à un maximum de personnes.
Il
y a donc différentes tendances qui commencent a émerger donnant lieu à des
comportements douteux et facilement observables :
- les gens se prennent pour des autres en saucissonnant des heures dans les voies (cités précédemment), Ils amorçent les mouvs sans jamais les finir, le plus souvent bruyamment, sans se soucier des autres et encore moins du pauvre grimpeur en bas qui se pelle les couilles (puisque lui il en a), qui se fiche de la pêche et qui attend désespérément pour taper un run. Cette stratégie a pour but d’afficher des performances non représentatives de son niveau réel pour se faire mousser dans son cercle d’amis ou de personnes proches.
- Les grimpeurs forts mais en mal de reconnaissance, qui à défaut de faire des performances marquantes vont décoter à outrance (mini 2 cotes ) des voies de niveau commun pour camoufler des performances médiocres qui ne susciteraient aucune ou une breve couverture des medias, et ainsi tenter de titiller ces derniers, pour enfin voir son petit nom en haut de l’affiche.
- Les pipoteurs qui s’inventent des perfs. Toujours sans témoins et des fois en décrétant des « pseudo » performances notoires et inédites. A croire que ces gens là tentent de faire perdre toute crédibilité a notre sport.
- Les First ascenteurs de voies extrêmes dans le trou du coup du loup, souvent sur des tas de pus tout taillés. En général on les voit peu sur les spot d’intérêts, ils sont peu emmerdants tant qu’ils ne taillent pas des voies déjà existantes.
Bref
toutes ces pathologies sont caractéristiques le plus souvent d’un excès
d’estime de soi, et d’égocentrisme, pour des gens qui nécessitent une
reconnaissance permanente de ceux qui les entourent ou du monde de l’escalade.
Ceux
qui en pâtissent ce sont les autres pratiquants qui se font berner ou emmerder!
Sans être extrémiste le « mort au con » des Claretman et l’esprit qui s'y rattache devrait être je pense remis au gout du jour, et certains de leurs principes mis en action dans plusieurs falaises ou la recrudescence de conos devient exponentielle.
Pierre Rouzo ( copyright Jean-Pierre Banville) source:
http://archives.lesduc.pagesperso-orange.fr/pages/pagepierre.htm (allez jeter un coup d'oeil)
Malgré le fait que mon propos soit un peu caricatural et abrupte, l’actualité, et le vecu sur les falaises nous montre de beaux exemples de ce type d’énergumènes. L’important est d’être au clair avec soi même et de pratiquer notre sport dans la simplicité, en respectant les personnes qui nous entourent.
Première ascension de "3 gabachos y un doberman" 7a+
Renaud Moulin au déchiffrage de "passate al Berenguel" 7b+ aussi serré que le café italien !
Renaud Moulin au déchiffrage de "passate al Berenguel" 7b+ aussi serré que le café italien !
Bref
vous l’aurez compris, l’equipement de la pared negra ne rentre pas dans le
moule des sites espagnols à la mode. Il n’en demeure, que ce spot est une pure
merveille dans sa variété de préhension, son ampleur, ainsi que dans la
diversité des styles d’escalade rencontrés (cour long, crouteux, bloc conti,
moco, colo…).
Rassurez vous vous n’y croiserez normalement que des gens bien.
Rassurez vous vous n’y croiserez normalement que des gens bien.
La
gentillesse des grimpeurs locaux est grandement appréciable. Car à Jaen il y a
une bonne bande de fanatiques : Luis Penin, les frères Serrano, El Pana
(gonzalo) et j’en passe.
Nous
avons été reçus comme des rois.
En exclusivité internationale voici donc LE TOPO:
En exclusivité internationale voici donc LE TOPO:
aimablement confectionné par Renaud Moulin, merci jeune gourgandin! |
Les zones de campement sont au top et les gardes forestier aimables, même en camping sauvage avec une caravane de manouche…
Nous étions comme des coqs au vin, un dimanche sur la table de
grand Maman.
On retiendra également la gentillesse et la générosité de Camilo, propriétaire du bar Le Berenguel (à la descente de otinar en rentrant dans le village de puente la sierra), où il fait bon prendre una cañita apres la grimpe.
Ce local pure souche
amoureux de beaux paysages, de tous les produits naturels dérivés du houblon et
de toutes les fermentations alcooliques, vous donnera de bonnes infos sur les
endroits immanquables de la région. Ouvrez vous à lui et Il vous accompagnera également
sans trop forcer jusqu’au bout de la nuit à grandes goulées de Larios coca. Bons
moments et rigolades assurées. A noter cependant que la grimpe du lendemain avec
le cerveau condamné s’avère souvent un peu plus laborieuse…
Apres
2 semaines passées dans ce paradis de la varappe moderne, nous reportions à chaque fois
le départ... A un moment donné, il a fallu prendre une décision : comme
dirait un certain Claudie Faucan : « soit tu sors soit je te
sors ». C’est le cœur noué que nous nous en allâmes vers d’autres contrées,
toujours à la recherche de caillasse « underground d’exception »
Camilo en action à la Pared negra
CACIN:
Direction
donc un vallon que certains disent enchanté. Au milieu d’un désert près
d’Almeria l’endroit est insolite mais époustouflant de beauté. Nous voila donc
a Cacin (à coté de Fondon).
Le vallon de cacin pris de la zone de campement
L'intérieur du vallon avec en fond le secteur de "los pinos"
La découverte du site sera guidée par des locaux d’une gentillesse waltdisnale : Riki, Amador, Jaime. Equipeurs et grimpeurs passionnés, ils nous ont fait découvrir ce spot, sous le meilleur angle possible, grâce à des conseils avisés, ce qui a contribué a rendre ce séjour, tous simplement parfait. Merci a eux.
Le vallon de cacin pris de la zone de campement
L'intérieur du vallon avec en fond le secteur de "los pinos"
La découverte du site sera guidée par des locaux d’une gentillesse waltdisnale : Riki, Amador, Jaime. Equipeurs et grimpeurs passionnés, ils nous ont fait découvrir ce spot, sous le meilleur angle possible, grâce à des conseils avisés, ce qui a contribué a rendre ce séjour, tous simplement parfait. Merci a eux.
Riki équipeur amoureux de Cacin
L’escalade à Cacin est loin d’être commerciale, on y rencontre tous les styles. Mieux vaut cependant pousser sur ses petites cannes pour esperer apercevoir un relais.
Des bancs spéciaux sont d’ailleurs à dispositions au pied des secteurs,
pour permettre aux culs de jattes ou autres bourrins égarés des grottes catalanes,
d’attendre sagement l’injonction suprême.
Le
secteur principal (un des plus ancien) est caractérisé par une grimpe de mur
exigeante dans sa majorité ainsi que quelques jolis bijoux bien athlétiques sur
la gauche du secteur. Du 5 au 8b+,
Carole dans "Alé Alé" 8a majestueux
Les
perf marquante : Carole enchaine Ale Ale, 8a surphysique en 2 essais, même
voie que j’exécute à vue en posant les paires les coudes au dessus de la boite a
cerveau, a la limite sur beaucoup de mouv…
Le
secteur du cirque (nouveau) propose une escalade plus coloneuse, et athlétique
majeure du 6 au 8b+ avec une bonne concentration de 7c, 7c+ .
Voies
majeurs:
Acceso
directo 8a couillu
Las
nanas directa 7c
Zipette de l'espace pour Carole dans "las nanas directa" 7c
Le
petit bar derrière la fontaine de Fondon, Café Bar Vimar vous régalera avec des
tapas ibériques gastronomiques à base de petits bocadillos sur lit de patatas
fritas ou de hamburgesa sur même lit, ainsi qu’un large panel de plats typiques
comme ses viandes en sauce, ou l’inverse…Bref la cuisine est maison, bonne et
confectionnée avec amour. A noter cependant qu’au regard de sa très haute
concentration en acides gras saturés elle ne conviendra pas à nos grimpeuses
rachitiques ou à tout autres pachydermes brouteurs de gazons.
End
of the trip
Retour
prématuré pour cause de mauvais temps, ces trois mois de trip caravanier furent
enrichissants sur le plan personnel, grâce aux rencontres humaines et géologiques. . Nos petits bras on été lavés, rincés et essorés plusieurs fois, il nous reste plus que les os pour pleurer :).
Coucher de soleil sur le village de Cogollos (grenade)
Coucher de soleil sur le village de Cogollos (grenade)
Les colos d'Otiñar (jaen) voie: "Lagunas mental" 8a+/8b
Renaud à Reguchillo (Jaen) voie: "el bolo" 7c
Renaud à Reguchillo (Jaen) voie: "el bolo" 7c
La conclusion AMB du trip:
Apres de nombreux tests, AMB recommande l'ingestion massive d'huile d'olive, et preconise son usage comme lubrifiant pour éviter les irritations.
Pour le syndrome des bras en" terre cuite" veuillez consulter un potier au plus vite pour une ablation rapide et sans douleur .
Seguimos A muerte
Texte: Adrien
Photos: Carole et Adrien